Quel tarif pratiquer, quelle offre est la plus pertinente, ai-je le droit de communiquer sur des sujets décalés ou qui peuvent faire peur ... ? On se demande souvent si on a le droit de..... Je vous en parle dans cette vidéo.
Pour celles et ceux qui préfèrent lire.
Assumer sa valeur : Ai-je le droit de …
Quand on débute, on se demande souvent si on a le droit, de créer telle ou telle offre, de parler de sujets qui nous tiennent à coeur comme la spiritualité, le chamanisme ou l’intuition ou tout simplement quel tarif pratiquer pour ne pas paraitre "trop chère" ou "pas assez". (Si c'est votre cas, je vous invite à écouter le podcast du webinair : "Comment fixer ses tarifs et les assumer" en cliquant ici)
Bref, on attend d’obtenir une autorisation qui, évidemment, ne pourra venir que de nous-même.
Quand j’ai débuté, je me posais, moi aussi, toutes ces questions et j’ai compris qu’en plus de ma posture d’accompagnante, je devais développer ma posture d’entrepreneure.
C’est-à-dire être capable de prendre mes propres décisions et de parler fièrement de ce que je créais et d’être consciente ma valeur.
Etre entrepreneure, c’est oser briller dans le bon sens du terme, montrer la meilleure version de nous-même et oser assumer ce que l’on fait devant les autres.
Quand on fait des webinairs, quand on tourne des vidéos, on partage nos valeurs, notre vision, ce qu’on veut accomplir. Ca fait peur, parfois, mais c’est une opportunité incroyable d’assumer qui nous sommes et d’encourager les autres à en faire autant.
Si vous vous allez plus loin et apprendre comment vous sentir légitime, découvrez cette formation gratuite : "3 étapes pour se sentir légitime et trouver vos premiers clients" en cliquant ici.
Sybille
Merci Nathalie pour cet article,
Perso, j'en suis à voir quelle entrepreneuse je veux être. J'ai eu 4 affaires à mon compte. 3 fois dans l'esthétique et une fois chambre d'hôte + plus tard couplée à celle de psychopraticienne. Aucune de ces activités n'a survécu. Les 3 premières car pas assez rentables. Je n'arrivais pas à dépasser le fameux seuil des 3 ans. La dernière déclarée en tant qu'autoentrepreneuse, je l'ai arrêtée pour plusieurs raisons (dans ce système on ne paye que si on gagne des sous, j'en gagnais très peu) mais c'est surtout que j'ai senti que je ne voulais pas continuer la chambre d'hôtes et que je préférais m'aligner par rapport à celle de psychopraticienne.Aujourd'hui, où j'ai acquis plus d'alignement avec mon activité de coach-thérapeute, je regarde ce qui est juste pour moi. Je me demande par exemple si j'attends d'avoir mes premières clientes pour me déclarer comme autoentrepreneuse ou si je me déclare avant. Ou si d'autres solutions peuvent s'ouvrir. C'est la raison pour laquelle après avoir entendu parler des couveuses d'entreprises je me suis renseignée. Là je viens de solliciter un rendez-vous pour en savoir plus. Ma plus grande peur reliée aux expériences passées est celle de ne pas arriver à faire vivre mon entreprise, de ne pas en vivre et de devoir encore une fois laisser tomber.
Nathalie Rêv'elle Coaching
Merci Sybille de ton message. L'alignement est primordial en effet pour réussir et à ce que je vois, tu es en très bonne voie !
Clémentine
Les couveuses permettent 3 ans d'essai et guident vers la réussite de l'entreprise. C'est une excellente idée. J'ai eu l'occasion de dresser quelques portraits d'entrepreneuses qui se sont lancées ainsi. À Agen nous en avons une de qualité BGE47. Encouragements et amitié de Clémentine