Pour ceux et celles qui préfèrent lire.
As-tu déjà pris conscience que ce qui va venir freiner ton développement, ce ne sont pas tellement les choses que tu ne fais pas mais plutôt les choses que tu fais régulièrement ?
Souvent, on pense qu’on devrait faire davantage de webinairs, rajouter des stratégies, être plus présent sur Instagram, créer un groupe Facebook… et on va se focaliser sur les choses qu’on ne fait pas.
Sans voir que, finalement, ce qui va nous permettre d’évoluer, ce n’est pas tellement ce qu’on ne fait pas mais ce qu’on fait au quotidien et qui n’est pas toujours aligné ou qui va amener certaines fuites énergétiques dans notre activité.
👉 Dans cette vidéo, je vais te partager les choses que j’ai arrêté de faire, auxquelles j'ai appris à dire non sans culpabiliser, et qui ont eu le plus gros impact sur le développement de Rêv’elle Coaching.
🎯 La toute première chose que j’ai arrêté de faire et qui a eu le plus gros impact, c’est d’arrêter de dire oui à des clients qui n’étaient pas faits pour moi.
Dans les 1ères années de Rêv’elle Coaching, j’acceptais tout le monde. J’acceptais toutes les personnes qui me disaient oui même si au fond de moi je sentais que ça ne collait pas très bien.
Je me disais quelque part que c’était à moi de m’adapter.
Donc, sans m’en rendre compte, je faisais entrer des gens dans mon univers qui ne me correspondaient pas, qui me mettaient en difficulté puisqu’il fallait que je fasse rentrer des ronds dans des carrés, que je personnalise des choses... Et quand j’arrivais en séance, je devais parfois prendre sur moi.
J'ai appris à dire non sans culpabiliser quand j’ai pris conscience que ce n’était pas juste, ni pour moi et encore moins pour elles. Il y a en fait un décalage quand tu acceptes des clientes qui ne sont pas faits pour toi. Elles t’ont dit oui mais quelque part, elles non plus n’ont peut-être pas complètement écouté leur intuition.
Avant ça, j’avais extrêmement peur. Je me disais que si je faisais ça, j'aurais moins de clientes, que je ne pouvais pas me le permettre… Et en fait, là j’ai réalisé que j’étais en train de construire mon activité sur cette notion de manque, de peur.
Et tu ne peux pas construire l’abondance et le succès sur la peur et le manque.
Donc, je me suis dit “ ok, à partir de maintenant, je vais vraiment aller regarder qui je suis, ce que je sais faire, quels sont mes talents, je vais me consacrer vraiment aux personnes qui sont faites pour moi et si ce n'est pas le cas, je saurai dire non sans culpabiliser...”
Quand j’ai fait ça, j’ai eu davantage de clients à des tarifs bien plus élevés que ce que je ne faisais avant.
Pourquoi ?
Tout simplement parce que tout d’un coup c’était aligné, c’était à sa place, c’était logique.
Ça a été un gros changement et si c’est le cas dans ton activité aujourd’hui, si tu as ce sentiment d’avoir beaucoup de clients qui ne correspondent pas mais que tu n'arrives pas à dire non sans culpabiliser, je t’invite à faire un petit exercice. C’est un exercice que je fais faire à mes clientes et qui consiste à aller prendre les clients que tu as aujourd’hui et les classer en 3 colonnes. La colonne “j’adore”, la colonne “bof” et la colonne “ce n’est pas possible”
Ensuite, je te dirai sûrement dans d’autres vidéos quoi faire et comment gérer chaque chose, mais l’idée c’est que quand tu vas regarder dans ces colonnes, tu vas déjà avoir une idée de est-ce que toi aussi tu as cette énergie-là. Parce que ça voudrait dire que tu t’es construite sur le manque et que quelque part tu es en train de freiner ton développement.
🎯 Deuxième chose à laquelle j'ai appris à dire non sans culpabiliser : j’ai arrêté de faire des séances sans fin pour sauver mes clientes
Au début, j’avais des séances d’1h qui très souvent duraient 1h30 parce que je me disais que tant qu’on n’était pas arrivées à la transformation..., que mes clientes avaient besoin de moi.
Et donc j’avais des séances qui duraient longtemps. J’en sortais épuisée.
Et un jour, alors que j’avais fait une séance d’1h, j’ai eu une cliente - qui ne faisait pas partie des clientes faites pour moi- qui m’a dit : “ C’était du bâclé aujourd’hui parce que d’habitude on déborde, on fait 1h30”. Là, j’ai pris conscience que ce que je faisais, c’était devenu un dû quelque part et que la valeur de la session était reliée à la durée de la session.
Alors qu’en fait, l’idée c’était de se dire “ si j’accepte que mes clientes sont de puissantes créatrices comme moi, qu’elles ont tout ce qu’il faut pour réussir, je construis un cadre dans lequel je leur apporte cette transformation".
Et le but n’est pas que ça dure longtemps et que je sois dans cette notion de sauver mais plutôt dans cette notion de donner cet empowerment afin que mes clientes puissent avancer.
Aujourd’hui, j’ai des clientes complètement différentes où en 1h on fait un max de choses. Il y a des transformations qui se passent, des prises de conscience et il n’y a pas ce besoin de sauver parce que je sais qu’elles sont de puissantes créatrices.
Si c’est une croyance que tu n’as pas aujourd’hui, je t’invite vivement à l’adopter, tu vas voir ça va bouleverser ta vie.
Ça fait que tu sortes de tes séances non pas épuisée mais au contraire énergisée et tes clients ont de bien meilleurs résultats parce que c’est eux qui prennent le pouvoir et non pas toi.
Tu sais aussi très bien que si c’est toi qui as le pouvoir, tu ne peux pas le faire pour eux.
🎯 J’ai aussi dit non au doute.
Bien sûr, ça ne veut pas dire que je n’ai plus jamais de doutes dans ma vie, mais à l’époque, j’avais beaucoup de doutes, je me posais beaucoup de questions sur ma valeur, sur mon message, sur ma capacité à accompagner mes clientes... et je passais beaucoup de temps à me questionner.
Et évidemment, quand tu fais ça, tu trouves pleins de raisons pour lesquelles ton message n’est pas clair, pour lesquelles tu pourrais faire mieux avec tes clients…
Aujourd’hui j’ai compris que, bien que se remettre en question soit important, être sans cesse dans le doute est contre-productif. Ça vient drainer ton activité d'une chose essentielle : la certitude.
La certitude que tu es à la bonne place, que tu crois en tes talents, que tu crois en toi.
Et sans cette certitude, il ne peut pas y avoir de croissance. Ou alors elle est très difficile. Ça demande d’y aller à la force du poignet et c’est compliqué.
une croissance fluide doit etre basée sur cette certitude, cette confiance.
Ça ne s’est pas fait d’un claquement de doigts ni été hyper facile, mais en tout cas j’ai arrêté de nourrir ces pensées-là. À la place, je me suis dit "oui je suis à ma place, oui ce que je fais ça a de la valeur, oui je fais confiance à l’univers. "
Et ça a vraiment été transformateur.
🎯 Dans le même état d’esprit, la dernière chose à laquelle j’ai appris à dire non sans culpabiliser, c'est que j’ai arrêté de me comparer.
Et ça, je le conseille aussi à mes clientes parce que ça a été révélateur.
Il ne faut pas hésiter à se désabonner d’un maximum de newsletters - et ça peut même être la mienne si tu sens qu’il y a des choses qui viennent te chercher et que tu ne te sens pas bien… -. C’est important de faire le tri énergétique là-dedans de façon à ce que ce qui entre dans ton entreprise, ce qui entre en toi, ça soient des choses qui te nourrissent et qui t’aident à aller vers cette notion d’abondance.
Si cette vidéo t’a plu, envoie-moi un message, dis-moi ce que tu penses, si ça t'intéresse de savoir dire non sans culpabiliser et puis je te retrouve prochainement pour une autre vidéo.
À très vite ! 😉